Menu
Libération
Repères

Épopée vers les Palmiers

par
publié le 16 janvier 2015 à 17h06

Y aller

Avec 17 000 kilomètres à parcourir en environ vingt-cinq heures, se rendre en Nouvelle-Calédonie tient encore de l’épopée moderne. Air France ou KLM desservent la destination via le Japon.

Y dormir

Nouméa possède de nombreux hôtels plus ou moins chers sur le front de mer. A Koné, l’Hibiscus est un élégant et récent établissement, depuis lequel il est possible de survoler le Cœur de Voh en ULM.

S’y détendre

Grande Terre compte beaucoup de nakamals. Parmi eux, à Nouméa, le Sunset, les Palmiers, le 21, les Escaliers. A Koné, Chez Jimmy.

Le Sunset, rue du Contre-Amiral-Joseph-du-Bouzet, Nouville. Les Palmiers, rue de Bougainville. Le 21, 21, rue Félix-Broche, Magenta. Les Escaliers, rue du 5-Mai.

Y manger

Privilégier les produits locaux, variés et succulents. A Nouméa, l’Assiette du cagou et l’Astrolabe sont des adresses fiables (mais pas données : autour de 30 euros). Et le drapeau breton (!) flotte sur le Rocher, bon bistrot pas cher de crêpes et de salades qui domine la baie de l’Anse Vata.

L’Assiette du Cagou, 15, rue Auguste-Brun. L’Astrolabe, baie des Citrons. Le Rocher, Anse Vata.

Y boire

Pour prendre un verre à Nouméa, la Bodega, prisée de la jeunesse locale, garantit un coucher de soleil de carte postale.

134, promenade Roger-Laroque.

A faire

Une sortie au phare Amédée (à 22 km au large de Nouméa) ou un simple plongeon dans le lagon depuis l’île aux Canards (cinq minutes de traversée) et c’est la promesse d’une rencontre avec tortues, raies, poissons trompettes, poissons-perroquets, voire requins (à pointes noires) et tricots rayés.