Plébiscitées, moquées, ou remises au goût du jour, les chaussures sont perçues comme le reflet d’une époque, de communautés, d’une personnalité. Entre modèles iconiques ou en passe de le devenir, Libération consacre une chronique hebdomadaire à des passionnés qui se racontent à travers leurs pompes. Aujourd’hui, Emilie, 37 ans, retrace sa transition des Fila aux imposantes New Rock en passant par les ballerines et les Buffalo.
Quelles étaient vos paires du confinement et du déconfinement ?
Ma paire du confinement était mes tongs car il ne faisait pas froid et que c'est très confortable. Pour aller dans le jardin ou prendre l'apéro chez les voisins, c'était idéal. Je n'ai pas beaucoup porté mes New Rock pendant le confinement, j'avais besoin de respiration. Ma paire de déconfinement était de petites chaussures compensées noires de chez No Name, car ce sont les seules avec lesquelles j'arrive à conduire. J'aurais pris mes New Rock si j'avais pu conduire avec… J'y arriverais un jour !
Quel est votre meilleur et votre pire souvenir autour d’une paire de chaussures ?
Mon meilleur souvenir, ce sont les soirées techno avec les Buffalo entre copines. Avant de porter des New Rock, je portais des modèles de cette marque et j'adorais ça. En somme, je suis passée d'une sorte de plateforme à un