Interview

"L'infini, ce n'est pas une adresse. C'est là où nous sommes"

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Roman Opalka, fasciné par l'écoulement du temps, l'artiste polonais s'est attelé il y a quarante ans à peindre la suite des nombres en commençant par le 1. Dans une démarche visant à conceptualiser l'infini, son oeuvre intègre son portrait et sa propre mort, qui en marquera la fin.
publié le 21 août 2004 à 1h50
(mis à jour le 21 août 2004 à 1h50)

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