Interview

Le mot de génocide est ambigu, je préfère la notion de crime de masse

Article réservé aux abonnés
Jacques Sémelin, psychologue et historien, explique comment, en comparant la Shoah, la crise rwandaise et la purification ethnique en ex-Yougoslavie, il en est venu à remettre en question le mot de génocide, sujet à toutes sortes d'instrumentalisations, de passions et de frustrations.
publié le 4 février 2006 à 20h15

Les plus lus